Photo : Simone Beugin
Une semaine avant Noël est fêté le saint patron de la commune des Angles. La Saint-Étienne est la toute dernière fête locale de l'année du pays de Lourdes. Yvette Lacaze, maire, et son conseil municipal reçoivent toujours chaleureusement les élus, le clergé et la population, ainsi que diverses personnalités civiles et militaires autour d'un délicieux buffet offert à la salle des fêtes «Nous avons pu procéder à l'installation des cloches électriques. C'est avec un immense plaisir que nous avons appris le versement d'un don anonyme au Trésor public, destiné exclusivement pour l'église et notamment pour les cloches qui avaient perdu leur son.» Yvette Lacaze, très heureuse, ainsi que les habitants du village vont retrouver leur clocher qui sonnera comme au temps jadis, à midi et à l'angélus du soir. Parmi les actions réalisées en 2016, sont concernés les travaux de voirie. Par contre, la 2e tranche d'enfouissement des lignes sera reportée pour 2017. Toujours soucieuse de bien conserver son patrimoine bâti, la commune prévoit des travaux de réfection du moulin communal. Depuis deux ans, il est à l'arrêt, donc privé de visites touristiques et scolaires. Pour la mise en conformité à l'accessibilité handicapés, elle sera répartie sur trois ans aux espaces de la mairie, du foyer, de l'église et du moulin. Yvette Lacaze a évoqué le tout dernier conseil communautaire qui s'est passé aux Angles, en cette fin d'année. «Souhaitons bonne route pour la grande agglo Tarbes-Lourdes-Pyrénées, espérons y retrouver un climat aussi serein et convivial, comme nous l'avions dans nos réunions communautaires du pays de Lourdes.» Elle a remercié les nombreux élus présents, le père Marian pour l'office célébré et chanté par la chorale de la baronnie des Angles. Elle n'a pas oublié les employés communaux et agent d'entretien, ainsi que la secrétaire de mairie, et a souhaité la bienvenue aux nouveaux habitants. Ils ont trouvé aux Angles un village accueillant et un certain art de vivre, même son de cloche pour les habitants qui y ont toujours vécu !
Source : La Dépêche.
Janvier 2017